Atteindre « un certain âge » peut aussi signifier que vous avez plus de chances de tromper ou de l’être. La science est formelle : les hommes ont plus tendance à être infidèles que les femmes. Une étude en révèle la raison et le temps propice où il passe à l’action.
La réalité est que l’infidélité peut être très destructrice pour les relations (principalement parce qu’elle détruit la confiance) et, outre le fait qu’il existe un type de personnalité particulier qui augmente les chances d’une personne d’être trompée. Une nouvelle étude indique qu’il existe également un âge clé où cela se produit davantage.
Il existe de nombreux facteurs qui influencent l’infidélité. Les psychologues affirment que la dynamique du couple, l’argent, les poursuites judiciaires et l’insatisfaction sexuelle peuvent amener une personne à croire que tromper n’est pas si mal, à croire que c’est entièrement la faute de son partenaire qui ne lui donne pas ce dont il a besoin ou même que ce n’est pas un délit grave et qu’elle lui pardonnera sûrement.


A quel âge les hommes trompent t-ils
Selon les résultats de la recherche, les hommes commencent à ressentir un besoin ou un désir d’infidélité à mesure qu’ils atteignent un changement de décennie, les 29 et 49 ans étant les plus susceptibles de tromper leur partenaire. A ces moments-là, les possibilités sont doublées. Il semble que la crise de la quarantaine ne soit pas le seul problème, les dernières années de la vingtaine les laissent également dans une sorte de crise qui conduit en fait beaucoup d’entre eux à saboter leurs relations.
Pour expliquer ces résultats et notamment la plus grande tendance des hommes à l’adultère, les scientifiques avancent les raisons différentes (ce qu’ils appellent l’ « analyse coûts-avantages ») chez les deux sexes qui les poussent à passer à l’acte. Les hommes, la démarche serait beaucoup moins réfléchie, et la probabilité qu’ils s’engagent dans une relation extra-conjugale augmente tout simplement avec l’âge.
A noter que les femmes se soucieraient en premier lieu des « facteurs socioéconomiques et biologiques » avant de débuter une liaison, à savoir si l’homme a la capacité de s’occuper d’un enfant, une bonne éducation et une stabilité financière pour assumer une famille.