Les reines de beauté des Îles Comores et du Cameroun se livrent une “guerre” sur la toile. Après la défaite de son pays, la Miss Marie Imamou, comorienne, a traité le président Paul Biya de momie et s’en est pris à Samuel Eto’o. La Miss du Cameroun a sagement répondu suscitant fierté et mérite auprès de sa population.
La défaite des Comores sur le Cameroun en huitième finale continue de susciter des réactions sur la scène internationale. La réaction de Mlle Marie Imamou, quelques jours après l’élimination des Comoriens de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), a littéralement révolté le public. La population et l’équipe camerounaise sont accusées d’être partie prenante d’une supercherie.
La réaction de la Miss des Îles Comores
Miss Imamou a d’abord fait des éloges aux joueurs.
» Merci les gars vous avez été les meilleurs j’ai rarement vu une équipe recevoir autant d’éloges dithyrambiques que l’équipe des Comores »
Miss Îles Comores

« En tout cas les magouilles du Cameroun avec l’aide de la CAF , de Samuel Eto’o et de leur Momie qui leur sert de président depuis 1901 ont juste réussi à avoir le monde entier contre eux «
Poursuivit-elle
La réplique de Miss Cameroun
Tous les mots de la reine de beauté comorienne ont enflammé la toile un peu cette histoire sur Samuel Eto’o. Très vite, la réponse à son homologue a jailli.

» … On a eu droit à une déclaration humiliante de la part de la Miss Comores , une intervention dépourvue d’intelligence , de grandeur et de maturité dont devrait faire face une reine de beauté «
a écrit Julia
La Miss Cameroun a poursuivi en ces termes
» … Nous avons été subjugués par le jeu de la jeune équipe comorienne. Cependant le jeu à ses règles et le contexte sanitaire n’épargne personne. J’appelle tout les pays africains à plus de tolérance. Ne nous laissons pas emporter par ces tensions qui pourraient tourner au pire , s’il vous plait cessons cela. C’est ensemble que nous sommes plus fort. Au Cameroun vous serez toujours chez vous «
a conclu la Miss camerounaise.
Une réponse qui a beaucoup plus au peuple camerounais.