Un professeur d’histoire-géographie a été sauvagement décapité ce vendredi 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine par un jeune Tchétchène. L’événement qui s’est déroulé tout près de l’école, a bouleversé tout l’hexagone. Le présumé meurtrier a été tué par des policiers quelques minutes plus tard.
En effet, Il y a quelques jours, le professeur décapité avait montré à ses élèves une caricature de Mahomet dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression. Finalement son action n’a pas été appréciée par tous les élèves.
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Une élève aurait même porté plainte contre le professeur pour son acte contraire aux principes de l’Islam.
Le meurtrier aurait aussi posté la photo du professeur décapité sur les réseaux sociaux. Un acte qui donne à ce meurtre un caractère prémédité.
Toutefois l’évidence montre que la police n’a pas pris l’affaire aussi sérieuse qu’elle devrait en inscrivant l’assassin sur la liste des terroristes.
Le Parquet national antiterroriste s’est par la même occasion saisi de l’enquête.
Au finish, les causes de la mort du professeur devrait être plus ou moins imputé à qui ? Le professeur qui montrait l’ exemple de la liberté d’expression ou au manque de vigilance de la police.
Cette interrogation a également poussé le Président français Emmanuel Macron à se rendre sur les lieux de l’attaque où il s’était également exprimé.
«Un de nos concitoyens a été assassiné parce qu’il enseignait, qu’il apprenait aux élèves la liberté d’expression».