Au Ghana, une nouvelle loi a émergé concernant les couples mariés. Le coordonnateur régional central de l’Unité de lutte contre la violence domestique et le soutien aux victimes (DOVVSU) George Appiah-Sakyi a récemment réitéré que selon la loi, le fait que les maris rejettent ou refusent de manger la nourriture de leur femme constitue un cas de « violence psychologique ».
Selon l’officier de police, ces maris récalcitrants risquent une inculpation pour violence psychologique et une peine de prison de deux ans maximum. Les accusés peuvent aussi être obligés de payer une amende de 6000 cedis.
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George Appiah-Sakyi, surintendant du service de police du Ghana a dévoilé ces nouveaux règlements lors d’un atelier de sensibilisation pour les femmes musulmanes.
Au cours de son discours, le surintendant a également exhorté les maris à ne pas battre ou molester leurs femmes de quelque manière que ce soit, même si ces dernières les insultent. Il suggère plutôt qu’ils dénoncent les épouses au poste de police le plus proches car les agressions verbales sont également une infraction qui peut être traitée par la loi. Il a déclaré :
Le surintendant de la police du Ghana a également précisé que les épouses aussi risquaient des peines de prison si elles sont fautives.

Il a ensuite ajouté que les femmes qui refusent d’avoir des relations sexuelles avec leur mari devraient également être signalées. Le refus d’avoir des relations sexuelles avec un partenaire légal est une violation fondée sur la loi et équivaut à un abus émotionnel. Cela est puni par la loi ghanéenne sur la violence domestique. George Appiah-Sakyi a ajouté :