La tribu Wodaabe : Découvrez la tribu qui permet de voler la femme ou le mari d’une autre personne

la tribu Wodaabe

Au sein des tribus peules du Niger, en particulier chez les Wodaabe, des pratiques culturelles uniques se manifestent.

Évoluant au cœur du désert du Sahara, en interaction avec des communautés voisines souvent hostiles, la tribu Wodaabe se distingue par ses coutumes et sa dynamique sociale. En particulier, les hommes Wodaabe accordent une grande importance à leur apparence personnelle, témoignant ainsi de leur préoccupation pour l’esthétisme.

Contrairement à de nombreuses autres cultures, la tribu Wodaabe ne considère pas le sexe comme un sujet tabou ou interdit. Dans cette société, le concept de relations sexuelles n’est pas investi du même degré de sacralité que dans d’autres cultures.

Il est à noter que les femmes de cette tribu, bien que fiancées dès la naissance, jouissent de la liberté d’entretenir plusieurs partenaires sexuels jusqu’à ce qu’elles prennent la décision de se fixer.

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Le festival Gerewol

L’une des coutumes les plus fascinantes des Wodaabe réside dans la pratique du “vol d’épouse”, une composante naturelle de leur tissu culturel. Chaque année, la tribu organise un festival nommé Gerewol, durant lequel les hommes Wodaabe assombrissent leurs lèvres et dessinent des cercles autour de leurs yeux. Cela a pour effet de mettre en évidence le blanc de leurs yeux et de leurs dents, car ces attributs sont considérés comme séduisants au sein de cette culture.

Les membres de cette tribu se maquillent et revêtent des tenues sophistiquées. Cette préparation minutieuse a pour but de se présenter de manière séduisante et attirante aux yeux des femmes de la communauté. Chez les Wodaabe, une silhouette élancée assortie à des dents blanches est particulièrement considérée comme attirante pour les femmes.

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Le festival prend la forme d’une compétition de chant et de danse, évoquant une sorte de concours de beauté, où les trois femmes les plus remarquables sont désignées comme juges.

Un potentiel second mari

Durant le festival Gerewol, les femmes mariées observent avec admiration les participantes, choisissant parmi elles un potentiel second mari. Dans un geste de séduction, elles masquent leurs yeux de la main gauche, se dirigent vers le groupe des participants et désignent l’homme de leur choix d’un geste de l’autre main.

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Selon la tradition, l’homme ainsi choisi par une femme entreprend alors un voyage au cœur de la nuit afin de retrouver celle qui l’a désigné, bravant ainsi les possibles rivalités jalouses.

Si l’homme parvient à entretenir une relation avec la femme choisie sans être découvert, celle-ci devient sa conjointe et son mariage précédent est résilié. Notablement, l’ancien mari de la femme n’a pas le droit de contester cette nouvelle union.

Dans son ensemble, les coutumes de la tribu Wodaabe, branche des Fulanis, notamment leur vision particulière de la sexualité, le festival de Gerewol, et la pratique du “vol d’épouse”, reflètent leurs valeurs culturelles uniques et leur perspective singulière sur les relations et le mariage.

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