Scandale dans l’industrie musicale camerounaise : l’artiste Happy d’Efoulan, connu pour ses talents musicaux, a récemment accusé son producteur de maltraitances, de harcèlement et même d’enlèvement.
Cette affaire secoue le paysage artistique, suscitant de vives réactions et soulevant des interrogations sur les coulisses parfois sombres de l’industrie. Alors que les deux parties s’affrontent dans un duel médiatique, l’affaire prend de l’ampleur et laisse présager des révélations explosives. Plongeons au cœur de ce scandale captivant qui met en lumière les tensions et les conflits souvent dissimulés derrière les projecteurs.
Dans une déclaration poignante, Happy d’Efoulan déclare : “Il m’a tapé à quatre reprises. J’ai accepté les trois premières fois, mais la quatrième fois, j’ai décidé de ne plus travailler avec lui.”
Un proche de l’artiste confirme ses dires et dénonce une situation insoutenable : “Il est mentalement séquestré, constamment victime de violences, d’agressions et de harcèlement.”
De son côté, le producteur Serge NKODO rejette catégoriquement toutes les accusations portées contre lui : “Tout cela est faux, je ne l’ai jamais frappé, je ne l’ai jamais séquestré, il n’y a jamais eu de harcèlement. Ce sont des montages orchestrés de toutes pièces. D’ailleurs, je vais porter plainte.”
Il ajoute également qu’il existait déjà de nombreuses rumeurs au sujet d’Happy d’Efoulan avant de le signer : “Tout le monde le sait, c’est un toxicomane. J’ai confirmé ces informations puisque je l’ai signé, et j’ai fini par constater que c’était vrai. Nous avons essayé de l’aider. Maintenant, d’autres rumeurs circulent concernant son non-respect des contrats et son homosexualité. Je pense qu’il est important que toute cette situation soit clarifiée.”
